Ne laissons pas les chats des rues et ceux du refuge d'Hajar mourir de faim !

1. Au Maroc, Hajar n'a plus de croquettes pour nourrir la centaine de chats des rues dont elle s'occupe. Déjà malades et dénutris, ils vont mourir de faim si personne n'intervient !

"Je nourris plus de 100 chats dans la rue, répartis sur les quartiers de Salé. Leur nombre augmente de jour en jour : chaque jour, pendant ma tournée, je trouve un minimum de 2 chats malades, c’est généralement des nouveaux abandons ou des petits chatons... Ce problème des chats errants est le cadet des soucis de la municipalité, j’ai parfois l’impression que tous les efforts que je fournis pour stériliser et arrêter leur prolifération sont vains.

Les chats de la rue vivent dans des conditions catastrophiques, ils ne trouvent rien à manger à part les poubelles, les gens les traitent mal, ils vivent cachés. Ils sont sous-alimentés, amaigris et souvent malades, ils errent la plupart du temps la nuit. Malheureusement, la souffrance de ces chats ne se remarque que très rarement.

Le manque de croquettes ne me permet plus de les nourrir suffisamment depuis 15 jours déjà, ils sont affamés, cherchent de quoi manger dans les poubelles, ce qui leur cause des diarrhées et de graves maladies opportunistes. Il ne me reste plus aucun sac de croquettes désormais, je ne trouve pas de solution. La situation me dépasse, je n'en dors pas la nuit, je serais désespérée, frustrée et perdue si cette récolte échoue."

2. Jetée à la rue avec ses frères, Lili est une chatonne fragile et malade : les croquettes apportées par Hajar sont vitales pour elle.

"Lili est un chaton d'environ 3 mois, elle a probablement été abandonnée à la rue : je l'ai trouvée dehors dans un carton avec ses frères il y a une semaine... Je n'ai malheureusement plus assez de place au refuge pour les accueillir.

Lili souffre de la teigne, elle a une plaque au niveau du visage et une autre sur le corps. Elle souffre aussi des premiers symptômes du coryza, qu'un de ses frères a déjà contracté. Elle n'a pas de force et doit manger plus que les autres, si je ne peux plus lui apporter de croquettes, son état va inexorablement s'aggraver."

3. Hajar héberge également plus de 100 chats au sein de son refuge, qui ne mangent plus à leur faim. Les plus fragiles commencent déjà à s'affaiblir, ils ont besoin de croquettes ! 

"J’héberge plus de 100 chats dans mon refuge, leur nombre augmente car je trouve souvent des cas fragiles qui nécessitent une bonne prise en charge. Je ne peux pas laisser un chat malade dans la rue, malgré mes dettes, mais le manque de place se fait trop ressentir.

Ici, les chats vivent en sécurité, loin de la violence et de la maltraitance, mais ils sont aussi impactés par le manque de croquettes. J'ai réduit les portions depuis plus d'une semaine, les plus faibles ont commencé à retomber malade. Les autres ont maigri, je crains de perdre certains des chats les plus fragiles à cause de ce régime forcé.

Je suis comme une maman qui a des bébés et qui ne trouve pas de quoi les nourrir. Je fais mon maximum pour sauver la situation de mes chats mais je ne pourrais pas atteindre mes objectifs si je n’ai pas de soutien."

4. Recueillie alors qu'elle était atteinte d'un sévère coryza, Blanka garde des séquelles et reste fragilisée. Sans croquettes, sa survie est menacée.

"Blanka est une ancienne chatte des rues, qui souffrait de coryza lorsque je l'ai récupérée. Nous avons pu la sauver, mais les séquelles étaient inévitables, sa vision est désormais réduite.

Elle a récemment développé une plaque de teigne sur le visage, je suis parvenue à la stabiliser mais j'ai peur du manque de croquettes pour elle. Blanka est fragile, elle compte sur moi pour lui apporter des croquettes : si je ne peux plus le faire, son état va rechuter, ce qui pourrait être mortel pour elle."

5. Très affectée par la baisse des dons et l'inflation, Hajar accumule les dettes. Elle ne peut plus acheter de croquettes, ni en prendre à crédit, cette récolte est son dernier espoir ! 

"Les dons sont en baisse, je n’ai plus de nouveaux donateurs depuis longtemps, les mêmes personnes me font des dons, et elles-mêmes sont fatiguées et dépassées. L’inflation et la crise ont tout détruit, et n'ont fait qu'impacter négativement la situation des chats des rues et du refuge. Tout est difficile sans exception, l'avenir est devenu imprévisible.

Je ne peux plus me fournir en croquettes devant le manque de moyens et l'augmentation des prix des croquettes. Je ne peux plus non plus en prendre à crédit, car j'ai déjà pas mal de factures impayées chez le fournisseur. J'ai de nombreuses dettes chez le vétérinaire, je ne peux plus faire autant de stérilisations qu'avant non plus parce que je n'ai plus d'argent.

Ce manque de moyen m'oblige à compter le moindre centime, et même ainsi je ne peux plus continuer seule. J’ai épuisé tous mes recours, cette récolte est mon seul espoir, je me suis cassée les dents sur toutes les portes possibles."

6. Hajar ne demande pas d'argent, seulement des croquettes pour éviter que les chats ne meurent de faim.

"La surpopulation des chats errants devient un grand problème. Je soigne ces chats, je les vaccine et les stérilise pour arrêter leur prolifération, mais je suis triste de voir la situation de ces chats, et les mentalités qui ne changent pas malgré tous mes efforts. Je me sens parfois impuissante devant l'insouciance de l'Etat et des gens.

Les chats qui sont abandonnés ne sont pas habitués à la vie dans la rue, ils sont beaucoup plus susceptibles de tomber malades et d'être victimes d'accidents. Je leur trouve des familles pour les adopter, ils ne peuvent pas rester à la rue.

Je remercie Animal webaction pour tous ses efforts, et je souhaite vraiment que les gens se mobilisent pour cette récolte : sans vous je ne pourrai pas continuer à aider ces chats, aidez-moi s’il vous plaît."

7. Si cette récolte réussit, Hajar ne recevra pas d'argent mais 920 kg de croquettes, livrées depuis la plateforme logistique d’Animal Webaction au Maroc.

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique au Maroc, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

8. Avec des appels à l'aide qui restent sans réponses et de rares soutiens qui s'essoufflent, Hajar est enlisée et compte sur cette récolte.

"J'ai essayé de contacter pas mal d'associations,  mais je ne reçois pas de réponse favorable. Monique de l'association StrayCare International est la seule qui m'aide quand elle le peut.

J'ai demandé de l'aide à la Municipalité, mais c'est peine perdu, je n'ai aucune réponse, c'est comme si ces chats n'existaient pas. Les cagnottes ne fonctionnent pas non plus, la dernière que j'ai lancée est toujours à 0€ depuis plusieurs semaines...

Le financement du refuge et des mes actions pour les chats des rues repose sur les dons, qui sont pratiquement inexistants, c'est pourquoi j'ai vraiment besoin d'aide."

9. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment...

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas livrer les produits récoltés, le bénéficiaire ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés.

10. Au Maroc, les donateurs sont rares, et il n'y a ni fondations, ni subventions... Il est très difficile de trouver des financements pour des croquettes, beaucoup de chats restent mourir de faim dans la rue ! 

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Hajar, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une Fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plaît, venez en aide aux chats dont s'occupe Hajar, contactez-nous et nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez rencontrer Hajar ou que vous voulez lui envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez-la sur Facebook (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).

11. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.