Ne laissons pas les 550 chiens de cette fourrière mourir de faim !

1. En Roumanie, Nicoleta n'a presque plus de croquettes pour nourrir les 550 chiens de la fourrière : ils vont mourir de faim si personne n'intervient !

"Il y a maintenant 550 chiens à la fourrière et leur nombre est en augmentation ; un nouvel accord permet à la municipalité d'attraper également les chiens errants des villes voisines (qui sont plus petites et n'ont pas de politique de gestion des animaux errants)... On en arrive à certaines semaines où pas moins de 15 nouveaux chiens sont conduits à la fourrière !

Avec autant de chiens supplémentaires qui arrivent à la fourrière, c'est surpeuplé et nous avons de plus en plus de mal à nous occuper d'eux ! Mais les nourrir reste de loin notre principal problème : nous avons plus de mal que jamais à acheter des croquettes et d'ici demain, on n'en aura plus une seule en stock...

Les prix des croquettes sont en augmentation constante avec l'inflation et les dons ne cessent de diminuer, donc nous craignons que la situation ne fasse qu'empirer pour les chiens. Nos ressources sont trop maigres pour faire face à un tel afflux de chiens ! Nous sommes vraiment à bout, nous nous inquiétons tellement pour la survie des chiens. A ce stade, seul le succès de cette récolte les empêchera de mourir !"

2. Les chiens sont entassés dans la fourrière, ils sont agressifs et ne mangent pas assez : Nicoleta craint la pire des issues pour eux, si la récolte échoue... 

"Actuellement, nous ne pouvons nourrir les chiens qu'avec les croquettes les moins chères du marché... Comme de nouveaux chiens arrivent continuellement à la fourrière, nous devons rationner de plus en plus leurs portions. Résultat, les chiens ne reçoivent pas les quantités nécessaires de nutriments et ne mangent pas à leur faim... Je m'inquiète tellement et ce problème de croquettes a déjà des effets secondaires inquiétants : les chiens s'affaiblissent et montrent des signes d'agressivité les uns envers les autres...

A ce stade, ils vont rapidement tomber malades et j'ai tellement peur que leur agressivité se transforme en bagarres, à force d'avoir toujours plus faim. Il faut éviter que ces situations très dangereuses se produisent ! Si un chien est blessé, nous ne pourrons même pas payer les soins vétérinaires à cause de nos dettes... C'est vraiment insoutenable de voir les chiens souffrir comme ça, aussi bien physiquement que mentalement. Mais le pire est encore à venir pour eux, si le problème des croquettes n'est pas résolu : notre accord avec la ville repose uniquement sur notre capacité même à nourrir et soigner les chiens. Si cette condition n'est pas remplie, je crains qu'il ne nous soit plus possible d'assurer leur sécurité, ni de leur éviter l'euthanasie..."

3. Vasi souffre d'une infection parasitaire de la peau : sans croquettes, son traitement risque d'échouer et elle ne guérira pas...

"Vasi est une chienne de sept ans qui a été amenée à la fourrière il y a environ trois mois... Elle a été trouvée errante dans les rues et était en piteux état en raison d'une affection cutanée assez sérieuse : elle était infestée de parasites qui ont infecté sa peau ! C'est un petit gabarit qui a du mal à s'intégrer dans la meute, les autres chiens étant plus imposants. Ils s'en prennent parfois à elle, ce qui la rend encore plus craintive et peureuse !

Je m'inquiète tout le temps pour elle car Vasi est très fragile et a du mal à s'alimenter : elle mange généralement après tous les autres chiens, et si nous ne sommes pas là pour surveiller ses repas, elle mourrait très vite de faim ! Et puis, elle a besoin d'être soignée pour son infection, mais cela ne marchera que si elle a des croquettes de qualité en quantité suffisante..."

4. Les dons sont au plus bas depuis des mois, Nicoleta et Florentina se démènent pour nourrir les chiens de la fourrière : elles ne peuvent plus acheter de croquettes !   

"La municipalité couvre environ 30 % de l'approvisionnement en croquettes, les salaires des employés, les charges et l'entretien. Avec Florentina, l'autre bénévole, nous payons les 70 % restants pour les croquettes, mais aussi les soins vétérinaires, les médicaments et les stérilisations grâce à des collectes de fonds, des appels à l'aide... Mais je suis triste de constater que nous ne recevons vraiment pas assez de dons - le coût de la vie a trop augmenté pour que les gens puissent se permettre des dépenses en plus. Nous avons donc du mal à assumer tous les frais que nous sommes censées couvrir : nous avons déjà d'énormes dettes envers les cliniques vétérinaires... Nous faisons de notre mieux pour garder les chiens en bonne santé, mais malheureusement, notre situation financière nous a obligées à reporter plusieurs traitements...

Notre principale préoccupation est de veiller à ce que les chiens soient nourris, ce qui signifie que l'approvisionnement en croquettes est notre plus gros poste de dépenses... mais le manque de fonds en fait également notre plus gros problème ! Nous avons contacté plusieurs organisations pour obtenir de l'aide, mais nous ne recevons que rarement du soutien... Si seulement les croquettes n'étaient pas un souci, nous pourrions nous concentrer sur beaucoup d'autres choses qui amélioreraient l'existence et les conditions de vie des chiens. Évidemment, je dirais bien que nous avons besoin d'argent, mais pas autant que de croquettes -  nous nous sommes engagées à en garantir l'approvisionnement pour les chiens et notre collaboration avec la municipalité serait compromise si nous n'étions plus en mesure d'honorer ce devoir..."

5. Nicoleta ne demande pas d'argent, seulement des croquettes pour éviter que les chiens ne meurent de faim.  

"Cela fait maintenant 12 ans que je suis impliquée dans la protection animale. Tout a commencé lorsque je me suis rendue pour la première fois à la fourrière municipale... En voyant les conditions de vie des chiens, j'ai été tellement émue que j'ai pris la décision de les aider ! Être témoin de maltraitance et de négligence à l'égard des animaux me bouleverse profondément : je ne comprends pas comment on peut maltraiter un animal, cela m'attriste autant que cela me met en colère. Avec Florentina, l'autre bénévole, nous faisons de notre mieux pour les chiens de la fourrière... Sans nous, beaucoup d'entre eux ne seraient plus en vie, tandis que les autres seraient en train de mourir de faim, à cet instant précis !

Malgré tous nos efforts, il y a toujours des gens qui ne comprennent pas que nous manquons tout simplement de ressources pour offrir de meilleures conditions aux chiens... Ce n'est pas facile de rester motivées et de continuer, mais je sais que nos actions sont essentielles pour tant de chiens abandonnés de la région. Toutefois, nous ne pouvons pas tout faire par nous-mêmes, si les gens ne nous aident pas, nous ne pouvons pas faire grand-chose avec le peu que nous avons ! Nous voulons à tout prix garder ces chiens en vie et en bonne santé, et nous avons vraiment besoin que cette récolte réussisse pour assurer leur bien-être et leur survie..."

6. Si cette récolte réussit, Nicoleta ne recevra pas d'argent mais 4800 kg de croquettes, livrées depuis la plateforme logistique d’Animal Webaction en Roumanie.

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique en Roumanie qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

7. Nicoleta et Florentina font tout pour obtenir des croquettes, mais même l'aide de leurs soutiens et les nombreux appels sur les réseaux sociaux ne suffisent plus...

"Nous collaborons avec certaines organisations, mais cela reste limité et l'état actuel de l'économie mondiale n'aide pas... Une organisation allemande nous aide occasionnellement pour les adoptions, et une ONG finlandaise couvre environ la moitié de nos stérilisations... Nous ne pouvons compter que sur les dons pour obtenir des croquettes, et ils sont en baisse !

Nous avons également sollicité l'aide de plusieurs autres organisations pour les adoptions récemment, mais malheureusement, aucune n'a pu nous aider... Nous n'avons eu que 5 adoptions au cours du mois dernier, ce qui est loin d'être suffisant quand on sait qu'il y a des semaines où plus de 15 nouveaux chiens arrivent à la fourrière !

Nos relations de travail avec la municipalité et la fourrière sont bonnes, mais elles ne sont pas exemptes de défis ! Nous devons toujours veiller à fournir la majeure partie des croquettes pour éviter qu'ils n'euthanasient des chiens... Jusqu'à présent, nous avons réussi à éviter cette issue, mais nous ne pourrons plus leur sauver la vie si nous n'avons plus de solutions pour les nourrir. Nous avons vraiment besoin d'aide pour ne pas laisser tomber les chiens !"  

8. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment.

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, le bénéficiaire ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés.

9. En Roumanie, il est difficile de trouver des financements pour des croquettes, il n'y a pas d'aide, pas de subvention, pas de fondation... Beaucoup de chiens abandonnés restent mourir seuls dans les rues, dans l'indifférence.

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Nicoleta, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une Fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plaît, venez en aide aux chiens de la fourrière de Valcea, contactez-nous nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez passer à la fourrière de Valcea et aider les bénévoles ou que vous voulez leur envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez Nicoleta via Facebook (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).

10. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.