Ne laissons pas les chiens dont s'occupe Sladja mourir de faim !

1. En Serbie, Sladja n'a presque plus de croquettes pour nourrir les 126 chiens de son refuge. Ils mourront de faim si personne ne les aide !

"Avec seulement cinq jours de croquettes devant nous, la perspective d'une pénurie est bien réelle et nous préoccupe énormément. Le nombre de chiens au refuge a augmenté de façon significative et nos besoins en croquettes aussi, dépassant largement nos ressources actuelles. Je suis obligée de réduire les portions pour essayer de prolonger la durée du stock restant, mais même ces efforts ne semblent pas suffire. Je vois les conséquences directes de cette diminution sur la santé des chiens – leur énergie diminue, leurs yeux perdent de leur éclat.

Malgré nos tentatives pour économiser, la situation ne cesse de se détériorer. Je ressens une angoisse profonde en pensant à ces chiens qui comptent entièrement sur moi pour leur survie. Ils n'ont nulle part où aller, personne d'autre vers qui se tourner ! Cette récolte de croquettes est notre dernier espoir pour éviter une crise alimentaire catastrophique. Sans elle, je crains le pire pour nos compagnons à quatre pattes. Ils dépendent de cette nourriture pour continuer à vivre !"

2. Le manque de croquettes menace gravement l'équilibre précaire du refuge : affamés, les chiens risquent de se battre sans cette livraison !

"La gestion quotidienne de notre refuge devient un véritable casse-tête. Le manque de croquettes menace bien plus que la santé de nos chiens ; il ébranle également la paix fragile au sein du refuge. Déjà, des tensions se font sentir, j'observe des signes de compétition accrue pour la nourriture. Cette situation augmente inexorablement les risques de bagarres et de blessures, menaçant la sécurité de tous nos protégés.

J'ai peur de voir certains d'entre eux succomber dans des bagarres, ou faute de nourriture adéquate. C'est une réalité terrifiante. Par ailleurs, l'épuisement de notre stock actuel rend presque impossible l'accueil de nouveaux chiens en détresse. Je me retrouve déchirée entre mon désir d'en sauver davantage et les contraintes alimentaires qui nous limitent cruellement. Cette situation critique ne laisse aucune place à l'optimisme. Seule une aide extérieure peut désormais nous éviter de plonger dans un chaos dont nos chiens seraient les premiers à souffrir !"

3. Les appels lancés à la communauté et les tentatives de négociation avec les fournisseurs de croquettes n'ont pas abouti : Sladja est dans l'impasse !

"J'ai multiplié les efforts pour trouver des solutions, mais chaque tentative s'est soldée par un échec. J'ai approché plusieurs fabricants de croquettes, espérant obtenir des remises, mais mes demandes sont restées sans réponse. De même, mes tentatives de négociation avec des magasins pour obtenir des dons n'ont abouti à rien.

J'ai aussi essayé de mobiliser notre communauté de soutien, leur demandant de petites contributions, mais cela n'a pas eu l'impact espéré. Même nos initiatives telles que la vente de calendriers, les tombolas et les loteries n'ont pas rencontré le succès nécessaire pour subvenir aux besoins de nos chiens. Les appels lancés à la communauté expatriée n'ont pas eu plus de résonance. 

Face à ces échecs répétés, nous faisons face à une situation où nous peinons à satisfaire les besoins les plus élémentaires de nos chiens. Cette réalité nous confronte à une urgence que je ne peux exprimer en mots. La survie de nos chiens est en jeu, et notre capacité à les protéger est sérieusement compromise !".

4. Sladja ne demande pas d'argent, seulement des croquettes pour éviter que les chiens ne meurent de faim.

"L'absence de croquettes pèse lourdement sur nos opérations quotidiennes, menaçant d'annuler des années d'efforts dédiés au bien-être des chiens. Cette pénurie alimentaire nous contraint à des choix difficiles, comme celui de prioriser l'achat de croquettes au détriment des soins vétérinaires essentiels. Cela met en péril non seulement la santé de nos chiens, mais aussi leur réhabilitation et leur chance d'une vie meilleure.

Face à cette situation, l'accueil de nouveaux chiens abandonnés est devenu une tâche presque impossible. Le manque de croquettes limite gravement notre capacité à prendre soin des chiens traumatisés qui nécessitent une attention et un soutien particuliers. Nos programmes de stérilisation, vitaux pour contrôler la population canine et promouvoir la santé animale, sont également mis en suspens, faute de ressources suffisantes.

De plus, cette carence affecte directement les interactions entre nos chiens et les visiteurs, essentielles pour encourager l'adoption et renforcer le lien humain-animal. Nos initiatives de parrainage de chiens, qui dépendent de la bonne santé et du bien-être de nos protégés, sont elles aussi en danger. Dans ce contexte de crise alimentaire, chaque aspect de notre mission est menacé, laissant nos chiens dans une situation de vulnérabilité."

5. Constamment éprouvée dans son combat pour les animaux vulnérables de sa région, Sladja reste résolue à ne pas abandonner, consciente de leur totale dépendance à son égard.

"Je me consacre sans relâche au bien-être des chiens. Cet engagement, pourtant, me confronte souvent à un sentiment d'isolement profond. En Serbie, la quête de soutiens pour notre cause se heurte à de multiples obstacles, rendant chaque jour plus éprouvant que le précédent. Cette difficulté, loin de me décourager, ne fait que renforcer ma détermination, même si elle est constamment mise à l'épreuve.

La gestion financière du refuge est une lutte incessante. Chaque centime compte, chaque décision financière a un impact direct sur nos capacités à prendre soin des chiens. Dans cette bataille constante, je m'efforce de surmonter les stéréotypes négatifs associés aux chiens abandonnés, cherchant à changer les mentalités pour leur offrir un avenir meilleur. Ce travail, souvent invisible et sans reconnaissance, est l'essence même de ma vie.

Malgré les défis, je continue à me battre pour ces êtres sans voix. Chaque revers, chaque échec dans la recherche de soutiens n'est qu'un rappel de l'urgence et de l'importance de notre mission. Ces animaux, dépendant de notre aide, sont le cœur de notre refuge. Leur bien-être est le reflet de notre réussite, et chaque jour passé à leur côté renforce ma volonté de ne jamais abandonner, peu importe les obstacles rencontrés."

6. Si cette récolte réussit, Sladja ne recevra pas d'argent mais 1600 kg de croquettes livrées depuis la plateforme logistique d’Animal Webaction en Serbie.

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique directement en Serbie, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

7. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment.

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, le bénéficiaire ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés. 

8. En Serbie, les chiens des rues sont traqués par l'État et ignorés par la population, les bénévoles comme Sladja sont leur seul espoir !

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Sladja, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une Fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plaît, venez en aide aux chiens de Sladja, contactez-nous et nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez passer au refuge de Sladja pour l'aider ou que vous voulez lui envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez Sladja via la page de l'association sur Facebook (Note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).

9. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.