Nous ne pouvons pas laisser les chats des rues et du refuge de Corinne mourir de faim !

1. Au Maroc, Corinne n'a presque plus de croquettes pour nourrir les 600 chats des rues dont elle a la charge... Ils vont mourir de faim si personne n'intervient ! 

"Je prends actuellement soin d’environ 600 chats dans Essaouira et les quartiers alentours, avec le soutien de parrains et marraines de quartier. La quantité de chats à nourrir est immense, les besoins en croquettes augmentent sans cesse, mais malheureusement, les dons se font de plus en plus rares…

Je puise dans mes propres réserves pour acheter quelques sacs de croquettes ici et là, mais cela reste insuffisant, et mes moyens ne sont pas inépuisables. Depuis plusieurs mois, je suis forcée d’acheter au compte-goutte des croquettes de qualité médiocre ! Les chats des rues mangent donc moins.

On leur donne parfois des restes de poulet ou des abats quand c’est possible. Mais bien souvent, ils n’ont d’autre choix que de fouiller les poubelles… Leur situation est extrêmement précaire, tout comme leurs conditions de vie dans la rue… Je me sens découragée. Je lutte chaque jour pour réussir à nourrir les chats des rues et ceux de mon refuge, mais gérer tout cela seule devient impossible !"

2. Dans son refuge, Corinne s'occupe de 400 chats très vulnérables : eux aussi sont menacés par le manque de croquettes !

"Actuellement, mon refuge accueille 400 chats, dont la majorité sont accidentés, aveugles, malades ou ont été abandonnés. Rien que ce matin, j’ai encore recueilli trois nouveaux chats abandonnés ; il y a quelques jours, c’en étaient sept… Cela ne s’arrête jamais. Mon refuge est complètement saturé !

Avec un nombre aussi important de chats à ma charge, on pourrait dire que je gère l’équivalent d’un refuge type SPA. Mais la grande différence, c’est que je n’ai ni grosse structure, ni équipe de bénévoles, ni financements derrière moi ! C’est désolant, mais je ne reçois absolument aucun don pour les croquettes… Et en plus, les prix ont augmenté ! J’ai dû me résoudre à acheter des croquettes de moindre qualité, ce qui n’est malheureusement pas bon pour la santé des chats.

Chaque jour, je vis dans l’angoisse pour les chats de mon refuge… Ils sont bien trop fragiles pour supporter une pénurie de croquettes. Cette collecte représente une véritable bouffée d’oxygène pour moi, et, pour mes chats, c’est tout simplement une question de survie."

3. Affaibli par des problèmes de peau tenaces, Pluton a besoin de croquettes pour reprendre des forces !

"Pluton est un jeune chat d’environ un an. C’est une marraine de quartier qui me l’a signalé, car il traînait dans la rue avec un gros coryza. Je l’ai aussitôt pris au refuge. Depuis son arrivée, son coryza s’est nettement amélioré, mais voilà qu’un nouveau problème est apparu : il souffre maintenant d’un souci de peau, très probablement une allergie aux puces…

S’il pouvait bénéficier d’une nourriture de qualité, sa guérison serait bien plus rapide. Hélas, je n’ai pas les moyens de lui offrir une meilleure alimentation ! Et il faut bien comprendre une chose : nourrir un chat sans le soigner, c’est inutile. Mais l’inverse est tout aussi vrai : si on le soigne sans le nourrir correctement, le traitement ne fonctionne pas, et le chat finit par se dégrader... On ne peut substituer l’un à l’autre ! 

Le succès de cette récolte est vital pour que Pluton puisse reprendre des forces et espérer guérir."

4. Les dons couvrent à peine 25 % des besoins et Corinne a épuisé toutes ses économies... Cette récolte de croquettes est vitale pour ses chats !

"La situation n’est déjà pas idéale en Europe, c’est certain. Mais au Maroc, elle est bien pire : ici, il n’existe absolument aucune structure étatique pour la protection animale. Je fais office de dispensaire, sans aucune aide extérieure, ni de particuliers, ni du pays. Aujourd’hui, je prends soin de 400 chats et 35 chiens au refuge, et d’environ 600 chats errants dans les rues. C’est immense, les adoptions sont quasi inexistantes et les factures vétérinaires s’accumulent sans fin...

Les dons que nous recevons couvrent à peine que 25 % de nos besoins ; le reste, je le finance moi-même. Mais mes réserves sont épuisées, il n’y a plus d’économies, plus rien ! Et l’année prochaine, avec mon départ à la retraite, mes revenus seront divisés par deux… Je suis épuisée, je m'occupe de tout et quand je n’ai pas le temps de publier des appels, les dons cessent immédiatement…

Sans aide supplémentaire, mon refuge et les centaines d’animaux dont nous nous occupons dans la rue ne survivront pas. C’est une menace immédiate, bien réelle, qui nous pend au nez…"

5. Corinne ne demande pas d'argent, seulement des croquettes pour éviter que les chats ne meurent de faim.

"Le refuge s’est créé presque naturellement : la misère animale, si omniprésente ici, a fini par s’installer chez moi… Je vis au milieu de mes chats, je veille sur eux jour après jour, 24h sur 24. Mon quotidien est entièrement calé sur leur rythme : dès le matin, mon premier réflexe est de vérifier qui est mort, qui a disparu, qui est tombé encore plus malade… C’est très éprouvant. Je suis seule pour tout gérer, et chaque jour je cours partout : soigner les chats, préparer les tournées, faire face à l’urgence, encore et encore.

Et je cours aussi, constamment, après l’argent et les dons pour pouvoir continuer. J’ai parfois des aides ponctuelles, mais elles ne durent jamais. Je n’ai pas de réseau solide derrière moi, alors les dons sont littéralement vitaux. Il ne faut pas croire : chaque euro compte. Même quelqu’un qui me donne un euro par mois, je le remercie chaleureusement. Il n’y a pas de « petit don » : chaque geste a son importance.

Si j’avais 1 000 personnes qui donnaient chacune un euro par mois, mon refuge serait peut-être sauvé. Un euro, ce n’est même pas le prix d’une baguette… Ce qui compte, ce n’est pas la somme, c’est l’acte. C’est la force du collectif, la somme de tous les petits dons, qui peut tout changer."

6. En agissant maintenant, vous pouvez permettre à Corinne de recevoir 2 600 kilos de croquettes. 

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique au Maroc, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

7. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment...

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas livrer les produits récoltés, le bénéficiaire ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés.

8. Au Maroc, les donateurs sont rares, et il n'y a ni fondations, ni subventions... Il est très difficile de trouver des financements pour des croquettes, beaucoup de chats meurent de faim dans la rue ! 

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Corinne, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une Fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plaît, venez en aide aux chats dont s'occupe Corinne, contactez-nous et nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez rencontrer Corinne ou que vous voulez lui envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez-la sur la page Facebook de son association (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).

9. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.