Ne laissons pas les 130 chiens du refuge de Svjetlana mourir de faim !

1. En Bosnie, Svjetlana n'a presque plus de croquettes pour nourrir les 130 chiens de son refuge. Ils mourront de faim si personne ne les aide ! 

"On fait tout ce qu’on peut pour nourrir les chiens, mais la vérité, c’est que leurs repas sont tout sauf réguliers : un jour du pain trempé dans du saindoux, le lendemain des restes de table, parfois quelques croquettes… Autant dire que la quantité comme la qualité laissent à désirer, surtout pour nos doyens dont la santé décline ; le moindre grain de sable peut faire chavirer cet équilibre précaire.

Nous venons d’ailleurs d’affronter une épidémie de toux du chenil, plusieurs chiens peinent encore à s’en remettre. C’est rageant : après toutes ces années à tenir le refuge, on se bat toujours pour le strict minimum !

J’ai tout tenté, même de récupérer les invendus des restaurants du coin, mais ils refusent et cadenassent leurs bennes... On dirait qu'ils préfèrent laisser la nourriture se perdre plutôt que de la voir nourrir un être vivant qui en aurait besoin !  Ça montre bien à quel point on est devenus inhumains... J'ai une peur bleue de voir cette récolte échouer. Ça pourrait sonner la fin du refuge, purement et simplement."

2. Au refuge, la toux du chenil a ébranlé les plus fragiles... La pénurie de croquettes qui se profile risque de leur être fatale.

"Notre refuge accueille beaucoup de chiens âgés. Leur loyauté ne faiblit pas avec l'âge, bien au contraire. Mais leur système immunitaire, lui, se fragilise avec les années. On fait tout notre possible pour veiller sur eux et éviter que leur état de santé ne s'aggrave. Mais on n'y arrive pas toujours... La récente vague de toux du chenil qui nous a frappés en est la triste preuve.

Financièrement, ça nous a mis un sacré coup : on a été obligés, par manque de moyens, de choisir quels chiens allaient recevoir des soins d'urgence, et lesquels devraient attendre... Alors, dans cette situation déjà tendue, une pénurie de croquettes serait un nouveau coup terrible, peut-être celui de trop.

Si cette récolte échoue, nos chiens, qui sont déjà si vulnérables, tomberont encore plus malades. On sent bien qu'on arrive à nos limites... J'ai peur. Peur pour mes chiens, peur d'atteindre un point où l'on ne pourra plus faire machine arrière. Peur qu'un simple manque de croquettes réduise à néant tout ce qu'on a mis en place pour essayer de les protéger jusqu'à maintenant."

3. Fragilisée par une pneumonie et des vers du cœur, la survie de Nadežda dépend de ses prochaines gamelles...

"L'histoire de Nadežda a commencé comme tant d'autres : un chiot, abandonné juste devant la porte du refuge... Je l'ai recueillie et ça fait maintenant 13 ans qu'elle est là. Récemment, elle a attrapé la toux du chenil. Ça s'est vraiment installé, c'est descendu dans ses poumons et ça s'est transformé en une pneumonie carabinée.

Pour couronner le tout, les analyses ont révélé qu'elle avait aussi des vers du cœur... Elle vient donc de terminer un traitement à l'Ivermectine pour ça. Avec tout ça, la nourriture est absolument vitale pour elle  ! 

Honnêtement, vu son âge et sa santé déjà fragile, si elle ne reçoit pas les croquettes dont elle a besoin, ça pourrait très bien lui être fatal..."

4. Perte de subventions, dons faibles et occasionnels... Le refuge est asphyxié par les dettes et peine à nourrir ses chiens.

"Pour parler franchement, financièrement, on est vraiment dans le dur. Faire tourner le refuge coûte très cher, la plus grande part partant en nourriture et en frais vétérinaires : puce, vaccins antirabiques, passeport, stérilisation… Toutes ces choses essentielles, ça chiffre vite pour chacun d'entre eux.

Le problème, c'est qu'on a perdu les subventions de la mairie il y a cinq ou six ans, à peu près au moment où le maire actuel a entamé son premier mandat et depuis les dettes s’accumulent... On a un trou d'environ 2000 euros rien que pour les croquettes. Je ne peux même plus passer de nouvelles commandes tant qu'on n'a pas réglé cette facture !

Notre dette vétérinaire tourne autour de 2500 euros. Et tout ça, c'est sans compter les charges du refuge, ni l'essence et les frais de déplacement. Franchement, j'ai essayé tout ce qui était en mon pouvoir. On a atteint la limite de ce que notre fournisseur peut nous avancer, les fonds sont déjà plus que serrés, alors à moins de gagner au loto... Cette récolte de croquettes c'est vraiment notre seul espoir à l'heure actuelle."

5. Svjetlana ne demande pas d'argent, seulement des croquettes pour éviter que les chiens ne meurent de faim.

"J'ai démarré tout ça avec mon propre argent, à l'époque où j'en avais encore, simplement par amour pour les chiens. Que voulez-vous ? Quand ils souffrent, je souffre avec eux... Ils sont constamment dans mes pensées. S’il pleut ou qu’il neige, je les imagine trempés et transis de froid. Ce n’est pas un travail : c’est une vocation qui exige une empathie immense et, soyons honnêtes, des nerfs d’acier. On me dit souvent : « j’admire vraiment ta façon de rester saine d’esprit au milieu de tout ça.» Et je réponds généralement : « Je ne suis pas sûre de l'être vraiment !»

La vérité, c'est que le stress régit ma vie. Je m'inquiète pour tout : le manque de nourriture, le manque constant d'argent, le manque de bras... Je troque un stress par un autre.  Quand j’ai commencé, il y a toutes ces années, je pensais sincèrement que la communauté se mobiliserait davantage : que les gens mettraient la main à la pâte, se rassembleraient autour de la cause et aideraient comme ils le pourraient. Jamais je n’aurais imaginé que tout reposerait sur mes épaules !

Le problème, c’est que je ne rajeunis pas. Je suis plus faible, plus fragile. Il suffirait d’une mauvaise chute pour que tout s’écroule... Cette récolte, elle est vitale. Si elle aboutit, nos chiens auront des croquettes pour un bon moment, et on gagnera un peu de répit. On pourra consacrer nos ressources aux urgences vétérinaires et à la rénovation des box les plus abîmés pour améliorer le quotidien des chiens. Parce qu'en fin de compte, c'est ça l'objectif derrière chacune de nos actions : améliorer leur vie..."

6. En agissant maintenant, vous pouvez permettre à Svjetlana de recevoir 1500 kilos de croquettes pour chiens.

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique en  Bosnie qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

7. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment...

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, le bénéficiaire ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés.

8. En Bosnie, les chiens errants sont torturés et tués illégalement dans l'indifférence générale...

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Svjetlana, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une Fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plaît, venez en aide aux chiens de Svjetlana, contactez-nous, nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez passer au refuge de Svjetlana pour l'aider, ou que vous voulez lui envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez-la via la page Facebook de l'association (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).

9. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.