Ne laissons pas les centaines de chiens dont s'occupe Hind mourir de faim !

1. Au Maroc, Hind n'a plus de croquettes pour nourrir les 200 chiens des rues dont son association s'occupe. Ils risquent à tout moment d'être abattus...

"En ce moment, la situation dans les rues est catastrophique. Le nombre de chiens a chuté, mais c'est le résultat d'une politique brutale. Une société privée, mandatée par l'État, mène une campagne de capture massive. Le nom du programme, "Zéro chien errant 2030", annonce la couleur : l'objectif semble être de faire disparaître tous les chiens des rues, qu'ils soient dérangeants ou non.

Forcément, un climat de peur s'est installé. Les chiens sont terrorisés, ils ne font plus confiance à personne et s'enfuient au moindre mouvement. Seuls nos habitués osent encore venir vers nous. Mais même eux ne sont pas en sécurité : nos lieux de nourrissage ont été ciblés; on a perdu énormément de chiens... On se démène pour en mettre un maximum à l'abri, mais avec un tout petit refuge et des moyens très limités, on ne peut pas faire de miracles.

Le plus dur, c'est que notre action sur le terrain est bloquée. On n'a plus grand chose à leur donner. On essaie de leur donner du pain sec ou du poulet quand on en a, on passe tous les deux jours. Mais ce n'est pas suffisant. Pour trouver à manger, les chiens s'éloignent, fouillent les poubelles et deviennent des cibles parfaites pour la fourrière. C'est un cercle vicieux, une bombe à retardement, et sans même des croquettes à leur donner, on se sent totalement impuissants..."

2. Au refuge d'Hind, 75 chiens vulnérables sont eux aussi très affectés par le manque de croquettes !

"Ces derniers temps, le refuge n'arrête pas de se remplir. La raison est simple : on récupère les chiens capturés par la fourrière, des condamnés en sursis. On ne peut juste pas fermer les yeux sur ce qui s'y passe ; on parle d'animaux livrés à eux-mêmes, qui finissent par mourir de faim ou dans des bagarres d'une violence inouïe... Alors, dès qu'on peut, on en sort un, puis un autre... et on se retrouve avec de plus en plus de chiens à charge.

Dans notre refuge, au moins, ils sont en sécurité. Mais on se bat avec nos faibles moyens, et notre angoisse de tous les jours, ce sont les croquettes. Ça fait deux mois qu'on est obligés de tout calculer, tout rationner. Le peu qu'on arrive à trouver est souvent de mauvaise qualité, ce qui est un vrai problème pour nos plus vulnérables : les chiots, les chiens accidentés ou ceux qui ont été maltraités et qui ont besoin de se reconstruire.

Pour ces loulous qui ont déjà connu le pire, la faim est une menace terrible. On met tellement d'énergie à les sauver de la rue ou de la maltraitance, à les soigner... tout ça pour risquer de les perdre parce qu'il nous manque l'essentiel ! Réussir cette récolte, ce serait une immense bouffée d'air pour nous, et la promesse d'une vie plus digne pour eux. Ce serait pouvoir leur dire : "ça y est, c'est fini les gamelles vides, maintenant tu as de l'amour, des soins, et un bon repas assuré tous les jours"."

3. Très amaigrie, la survie de Lily ne tient qu'à un fil... Elle a besoin de croquettes pour reprendre des forces et surmonter le traumatisme qu'elle a vécu.

"Ça fait deux semaines que Lily est au refuge. On l'a trouvée sur le bord de la route : maigre, affamée... Un squelette. Elle a pris un tout petit peu de poids depuis, mais elle est encore très faible et se méfie encore. Il y a encore chez elle cette façon de rester sur ses gardes qui trahit tout ce qu'elle a enduré.

Le plus important pour elle maintenant, c'est de bien manger, tous les jours. Son corps est très fatigué par sa vie dehors et il a besoin de bonne nourriture pour reprendre des forces. On sent qu'elle s'accroche de toutes ses forces, mais sans le carburant nécessaire pour l'aider, son corps pourrait lâcher à tout moment..."

4. Vague d'urgences, finances à zéro... Hind lance la récolte de la dernière chance pour pouvoir nourrir ses chiens.

"L'association traverse une période très, très difficile. On se sent un peu seuls... Les soutiens manquent cruellement et nos réserves sont à sec, que ce soit en croquettes ou en médicaments. C'est un cercle vicieux : sans moyens, on est obligés de faire des choix terribles, comme repousser des soins qui ne peuvent ou annuler des stérilisations pourtant essentielles.

En ce moment, c'est la loi des séries. On fait face à une vague d'urgences : des chiens qui arrivent accidentés, des chiots très faibles qu'on nous a laissés... et notre véhicule, notre principal outil pour les sauvetages, vient de nous lâcher. Ces coups durs vident le peu de fonds qu'il nous reste et rendent chaque journée de travail incroyablement compliquée, sans parler des salaires de notre gardien et de notre agent qu'on a du mal à assurer.

On a beau chercher, on arrive au bout de nos solutions. Le plus difficile moralement, c'est de ne pas pouvoir remplir toutes les gamelles comme il le faudrait. On se bat pour sauver ces chiens, et les voir affaiblis par manque de nourriture, c'est insupportable. Pour nous, cette collecte n'est pas juste une option parmi d'autres, c'est notre dernière chance d'obtenir des croquettes. Chaque don, même le plus petit, fera une vraie différence !"

5. Hind ne demande pas d'argent, seulement des croquettes pour éviter que les chiens ne meurent de faim.

"Je ne vais pas vous le cacher, ma santé me pose de vrais problèmes en ce moment et ça a forcément un impact sur ma capacité à m'occuper des chiens. Je souffre de problèmes cardiaques et de tension, aggravés par le stress ambiant ici au Maroc, notamment en lien avec l'organisation du Mondial 2030. J'ai aussi des douleurs aux articulations qui rendent mes déplacements très difficiles, surtout pour m'occuper des chiens. Malgré tout ça, je continue de m'occuper des chiens des rues qui me font confiance et de ceux du refuge, qui sont de plus en plus nombreux.

Ce qui me fait tenir, jour après jour, c'est de les voir s'accrocher, de sentir leur envie de vivre malgré tout ce qu'ils ont traversé. Ce sont aussi les petites victoires du quotidien : un chien qui se remet enfin à manger, un autre qui me fait la fête quand j'arrive... Ces moments-là n'ont pas de prix. Car les animaux qu'on récupère sont souvent très mal en point : affamés, blessés, terrorisés...

C'est pour ça que chaque geste de votre part est si important. Votre soutien, c'est leur seul espoir ! Ce ne sont pas seulement des croquettes que vous offrez, mais bien une chance de vivre, de guérir et de réapprendre à faire confiance. Ensemble, on arrive vraiment à sauver des vies !"

6. En agissant maintenant, vous pouvez permettre à Hind de recevoir 2900 kilos de croquettes.

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique au Maroc, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

7. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment.

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, le bénéficiaire ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés.

8. Au Maroc, les donateurs sont rares, et il n'y a ni fondations, ni subventions… Il est très difficile de trouver des financements pour des croquettes, beaucoup de chiens restent mourir de faim dans la rue !

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Hind, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plaît, venez en aide aux chiens d'Hind, contactez-nous, nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez passer au refuge d'Hind pour l'aider ou que vous voulez lui envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez Hind via Facebook. (Note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité.)

9. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.