Ne laissons pas les chiens des rues dont Danijela s’occupe et ceux de son refuge mourir de faim !

1. En Serbie, Danijela n’a presque plus de croquettes pour les dizaines de chiens errants qu’elle nourrit. Sans aide, ils mourront de faim !

"Franchement, la situation dans la rue est pire que jamais. Je nourris des dizaines de chiens errants près de chez moi et de la décharge, mais avec le peu de croquettes que j'ai, je dois partager ce qui reste entre le refuge et la rue. Résultat : personne ne mange à sa faim !

Les abandons, j'en vois presque toutes les semaines. Des meutes entières de 10 à 20 chiens surgissent de nulle part, chassant les anciens et inondant des zones déjà bondées. J'ai même dû réduire mes tournées pour nourrir ceux de la rue parce que, vraiment, les croquettes ne suivent plus...

Les chiens errants sont de plus en plus maigres, de plus en plus désespérés. Certains commencent à errer partout pour trouver de quoi manger. La faim les change : ils sont plus nerveux, plus agressifs. Ça part en bagarre. Forcément, il y a des blessés...

Si je n'obtiens pas de croquettes rapidement, je sais ce qui va suivre : la maladie, la violence; la mort... Et je ne pourrai rien faire pour l'éviter."

2. Affaibli et squelettique après une grave infection parasitaire, Deka a un besoin vital de croquettes pour survivre.

"Deka est un vieux chien qui a vécu un véritable calvaire. Ses anciens propriétaires l'ont abandonné dans la rue. Quand je l'ai récupéré, il errait, complètement livré à lui-même et gravement malade ... Il avait attrapé la piroplasmose, une infection causée par les tiques qui donne une forte fièvre et épuise complètement l'organisme ! Par miracle, il a réussi à s'en remettre...

Mais aujourd'hui, Deka fait peine à voir. Il est squelettique, on distingue nettement ses côtes sous sa peau. À son âge et dans son état de faiblesse, il se traîne plus qu'il ne marche. Il est incapable de se battre pour trouver à manger ou de tenir tête aux chiens plus jeunes et plus costauds ! Ce qu'il lui faut de toute urgence, ce sont des croquettes pour qu'il puisse reprendre un peu de poids et stabiliser son état !"

3. Danijela s'occupe également de 65 chiens dans son refuge : eux aussi sont menacés par le manque de croquettes !

"C'est de plus en plus difficile au refuge. Avec 65 chiens à ma charge et les adoptions à l'arrêt, les nourrir est devenu mon plus gros casse-tête. Notre dernier don de croquettes remonte à plus de 4 mois, et depuis, j'essaie de faire durer chaque centime pour couvrir leurs besoins de base. Mais la vérité, c'est que ça ne suffit pas...

Les chiens ont faim. J'arrive à donner seulement 17kg de croquettes bas de gamme par jour, alors qu'il leur en faudrait 30kg ! Ça fait plusieurs mois que je suis obligée de réduire leurs portions. Pour faire durer, je mélange avec du vieux pain et quelques restes de poulet quand j'en ai, mais les conséquences commencent à se voir : les chiens maigrissent, ils ont la diarrhée et leurs défenses immunitaires s'affaiblissent, ce qui les rend encore plus vulnérables aux maladies.

J'ai peur pour leur santé, car je vois mes réserves fondre plus vite que je ne peux les reconstituer..."

4. Sin Bobi a survécu à une attaque extrême, mais reste amaigri et dépendant des croquettes.

"Sin Bobi est un survivant de 9 ans. Je l'ai trouvé après une attaque brutale par d'autres chiens ; ils lui avaient arraché la moitié du dos ! Il était dans un état critique, avec très peu de chances de survie.

Il a passé 40 jours à la clinique, recevant des soins quotidiens et des antibiotiques. La moitié de sa peau avait disparu, et la douleur l'empêchait de manger... Même maintenant, seule une partie de sa plaie est cicatrisée.

Sin Bobi est encore faible et extrêmement maigre. Son corps se remet lentement d'un profond traumatisme, mais il n'aura pas assez de force pour s'en sortir sans aide."

5. Étouffée par les dettes et faute de dons suffisants, cette récolte est le seul moyen pour Danijela de nourrir ses chiens.

"Franchement, ma situation financière n'a jamais été aussi mauvaise. Je suis noyée sous les dettes ! Environ 3 500 euros, principalement à cause des stérilisations, des vaccins, des traitements et de l'entretien du refuge. Les dons ont chuté brutalement, et la plupart de ce que je reçois sert juste à acheter de la nourriture bas de gamme. Mais même ça, ce n'est plus suffisant.

J'ai dû repousser des stérilisations et des traitements anti-puces, entre autre. Je cherche souvent des cliniques qui proposent des actes gratuits, mais c'est extrêmement rare que j'en trouve... Deux associations françaises me soutiennent un peu avec de la nourriture et des couchages, mais leur aide a aussi diminué. Et avec tous ces refuges qui se battent pour une aide limitée, c'est quasiment impossible de trouver des sponsors sur le long terme.

Cette récolte de croquettes, c'est mon seul espoir. Sans elle, je ne pourrai plus nourrir les chiens ! Je ne vois vraiment aucune autre solution. J'ai tout essayé – les appels, les réseaux sociaux – mais les retours sont faibles. J'ai désespérément besoin de cette aide."

6. Danijela ne demande pas d'argent, seulement des croquettes pour éviter que les chiens meurent de faim. 

"Je sauve des chiens depuis près de 15 ans, en me concentrant sur les plus vulnérables : ceux qui sont malades, blessés, ou qui ont subi une cruauté inimaginable. Certains ont été laissés pour morts, d'autres torturés. Je leur donne une chance de se remettre, de faire confiance à nouveau et de vivre sans peur. Ceux qui ne peuvent pas être adoptés restent avec moi à vie, entourés d'amour.

Chaque perte me touche profondément. Récemment, j'ai dû dire au revoir à une chienne âgée qui avait enfin appris à faire confiance, pour être emportée par la maladie. Ses derniers jours ont été paisibles, mais mon cœur s'est brisé. Pourtant, je ne peux pas m'arrêter car d'autres ont besoin de moi. Chaque fin heureuse, un chien qui trouve un foyer ou qui se sent en sécurité, me donne la force de continuer.

Cette force, elle vient aussi de chaque don que je reçois. Un don de croquettes par exemple, c'est bien plus que de la nourriture : c'est un message que quelqu'un se soucie, que l'espoir existe encore. Sans donateurs, nous ne pourrions sauver personne... Votre aide — aussi petite soit-elle — peut faire la différence entre la vie et la mort pour un chien. Vous êtes leur chance."

6. En agissant maintenant, vous pouvez permettre à Danijela de recevoir 3000 kilos de croquettes.

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique directement en Serbie, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

7. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment...

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, l'organisateur ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés. 

8. En Serbie, les chiens des rues sont traqués par l'Etat et ignorés par la population, les bénévoles comme Danijela sont leur seul espoir.

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Danijela, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plaît, venez en aide aux chiens de Danijela, contactez-nous, nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez passer au refuge pour aider ou que vous voulez envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez Danijela sur Facebook (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).

9. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.