Ne laissons pas les chiens dont s'occupe Ivana dans son refuge et dans les rues mourir de faim !

1. En Serbie, Ivana n'a presque plus de croquettes pour les 68 chiens de son refuge. Sans aide immédiate, ils mourront de faim !

« Je suis terrifiée. Il me reste tout juste assez de croquettes pour quelques jours. Après, je devrai commencer à rationner. J’ai 52 chiens au refuge. 8 autres chez moi, et 8 de plus chez mon amie et bénévole Marina. Ça fait 68 chiens qui dépendent de moi pour manger, tous les jours.

Après l’échec de la dernière récolte j’ai été obligée d’acheter des croquettes à crédit. Résultat : je suis endettée. Et si cette nouvelle récolte ne fonctionne pas non plus… honnêtement, je ne sais pas comment je vais m’en sortir. J’ai réussi à faire adopter quatre chiens, mais j’en ai aussi accueilli deux autres, très gravement blessés. L’une d’eux a besoin d’une opération. Mais comment penser aux soins quand je n’arrive déjà plus à les nourrir correctement ?

En ce moment, ils mangent des croquettes de très mauvaise qualité. C’est tout ce que j’ai pu me permettre. Et même ça, ça touche à sa fin. D’ici un jour ou deux, je n’aurai plus le choix : je devrai limiter les quantités. Et ça veut dire plus de tension, des aboiements, des bagarres… tout dégénère quand la faim s’installe.

Ces chiens comptent sur moi. L’idée qu’ils puissent avoir faim parce que j’ai échoué, parce que cette récolte a échoué… c’est insupportable. On ne se relèvera pas une deuxième fois. »

2. Braonka a été abandonnée avec les pattes brisées : elle a besoin d'une opération pour remarcher, mais Ivana n'a même plus de quoi la nourrir.

« Braonka n’est qu’un bébé. Elle a à peu près un an. Des ouvriers l'ont trouvée abandonnée près d’une mine. Elle était toute seule et blessée. Personne n’a voulu la prendre. Personne à part moi...

Quand elle est arrivée il y a quelques semaines, elle avait les deux pattes arrière abîmées. Les têtes de ses fémurs étaient fracturées. Elle était aussi très maigre, et elle l'est toujours... Même si ça ne se voit pas trop sous son poil épais. Sa blessure a mal guéri, elle a besoin d’une opération pour pouvoir remarcher.

Mais comment voulez-vous que je prévoie une opération alors que je ne suis même pas sûre de pouvoir continuer à nourrir les chiens demain ? C’est un amour de petite chienne. Elle me suit partout, elle ne demande qu’à être aimée. Elle mérite une deuxième chance. Mais sans croquettes, je ne pourrai pas lui offrir ça. »

3. En Serbie, Ivana n'arrive plus à nourrir la soixantaine de chiens des rues qui l'attendent chaque jour pour manger. Ils vont mourir de faim si personne n'intervient ! 

« Je m’occupe d'une soixantaine de chiens des rues. On est en pleine canicule en ce moment... Je fais de mon mieux pour leur apporter de l’eau et de la nourriture. Mais ils vivent dans des conditions terribles. Beaucoup se font empoisonner. Certains disparaissent tout simplement. D’autres se font percuter par des voitures ou blesser par des gens qui détestent les chiens.

Si je ne peux pas les nourrir régulièrement, ils vont commencer à s’aventurer plus loin, à chercher de quoi manger. C’est là qu’ils ont des ennuis. Ils se battent avec d’autres chiens. Ils font peur aux gens. Et puis, on appelle la fourrière. Une fois qu’ils sont emmenés aux refuges publics… c’est terminé.

Certains chiens sont déjà plus excités que d’habitude quand je leur apporte de la nourriture. Je vois bien qu’ils ont faim, qu’ils sont plus désespérés. Si j’arrête de les nourrir complètement, ils vont devenir agressifs. Ils vont maigrir, tomber malades. Et ils vont disparaître, un par un. »

4. Endettée, sans dons, obligée de rogner sur les soins : Ivana n'a plus d'options, cette récolte décidera de la survie de ses chiens...

« Ma situation financière est très mauvaise. J'ai plus de 1 000 € de factures vétérinaires. Je dois de l’argent à l'animalerie pour les croquettes que j'ai dû acheter à crédit. Et là, je viens de recevoir une facture d’électricité beaucoup plus élevée que prévu... Je ne reçois plus de dons. Ces récoltes, c’est réellement notre seule source d’aide.

J'ai dû arrêter de donner aux chiens leur traitement antiparasitaire. Je peux plus me le permettre. Je reçois de l’aide d’une association anglaise qui s’occupe de trouver des adoptants, mais le taux d'adoption, ça varie, ce n'est jamais quelque chose qu'on peut prévoir.

Quand la dernière récolte de croquettes a échoué, ça m’a anéantie. Quand il n’y a plus de nourriture, plus rien ne compte ! Je ne peux pas aider les chiens blessés. Je ne peux rien faire. J’ai essayé de contacter d’autres personnes, mais personne n’a répondu. Je n’ai plus d’options. C’est pour ça que cette récolte est si importante. C’est la seule façon que j’ai de m’en sortir, et de continuer à les sauver... »

5. Ivana ne demande pas d'argent, seulement des croquettes pour éviter que les chiens ne meurent de faim.

« Le plus dur dans ce travail, c’est quand j’essaie de sauver un chien et que je n’y arrive pas. Quand je fais tout ce que je peux et que ce n’est pas suffisant. Cet échec, ça me brise... Les nourrir, m’occuper d’eux, ce n’est pas dur. Ce qui est dur, c’est la façon dont les gens me traitent, comme si j’étais folle de faire ça… Le pire, c’est de devoir faire face aux gens rémunérés pas l'Etat et censés protéger les animaux, et qui ne font rien ! Essayer de leur parler ne sert à rien.

Ce travail m’a changée. Je fais plus confiance aux animaux qu’aux gens… Chaque jour, je vois des choses qui me font de moins en moins croire en la bonté humaine. Les lois dans mon pays sont bonnes, mais personne ne les applique. Les chiens souffrent et rien ne change...

Malgré tout, je n’arrêterai pas. Une journée réussie pour moi, c’est simple : aucune urgence, aucune douleur. Juste la paix. Juste des estomacs pleins. Quand il y a de la nourriture, tout devient plus facile. Je peux planifier. Je peux aider. Je peux respirer. Mais sans croquettes, tout ça disparaît. Et je porte cette peur, tous les jours. »

6. En agissant maintenant, vous pouvez permettre à Ivana de recevoir 3000 kilos de croquettes pour ses chiens.

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique directement en Serbie, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

7.  Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment...

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, l'organisateur ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés. 

8. En Serbie, les chiens des rues sont traqués par l'Etat et ignorés par la population, les bénévoles comme Ivana sont leur seul espoir.

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Ivana, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plaît, venez en aide aux chiens d'Ivana, contactez-nous, nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez passer au refuge d'Ivana ou que vous voulez lui envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez Ivana via Facebook (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).

9. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.