Ne laissons pas les 205 chiens du refuge de Gorica mourir de faim !

1. En Serbie, Gorica n'a plus de croquettes pour nourrir les 205 chiens de son refuge : ils vont mourir de faim ! 

"Ces dernières semaines ont été un véritable cauchemar. Je n’ai jamais accueilli autant de chiens : 205 reposent désormais totalement sur mon refuge. Des gens en déposent toujours devant mon portail, d’autres sont laissés dans la rue, juste à côté. Avec l’hiver qui s’est installé, tout devient encore plus difficile… et surtout, je n’ai plus aucune croquette ! Depuis six semaines, je ne peux nourrir mes chiens qu’avec des os et des déchets de poulet... en quantités dérisoires.

En plein hiver, c’est dramatique. Ils auraient besoin de manger davantage pour affronter le froid, je n’ai plus rien du tout à leur offrir. Pas quelques sacs, pas une petite réserve : plus rien ! 

Je me sens complètement abattue. Les derniers petits dons reçus ont duré deux ou trois jours seulement. Il n’y a aucune réserve, aucun soutien local, aucune autre solution. Sans une récolte de croquettes réussie, mes chiens vont s’affaiblir dangereusement. Je sais que certains ne tiendront pas..."

2. Les chiens maigrissent, s’épuisent, se battent... Sans croquettes, la situation va virer au drame !

"Le manque de croquettes affecte déjà profondément les chiens. Ils sont plus nerveux, se battent plus souvent, réagissent au moindre stimulus. La faim change complètement leur comportement. Beaucoup n’arrivent même plus à défendre leur gamelle. Certains maigrissent, d’autres montrent des signes de fatigue : des os ne suffisent absolument pas à couvrir leurs besoins, surtout en hiver ! 

Si cette situation continue, je sais que les conséquences seront terribles. Leur immunité va s’effondrer, les maladies vont se multiplier, et les chiens les plus fragiles ne s’en remettront pas. En hiver, la moindre baisse de forme peut rapidement virer à la catastrophe...

Je les vois décliner à vue d’œil, et je n’ai aucun moyen d’enrayer cette spirale. Pas sans cette récolte de croquettes."

3. Deki porte encore les traces du parvo et vient d’être attaqué : sans croquettes, il restera une proie facile...

"Parmi tous mes chiens, Deki est l’un de ceux qui me préoccupent le plus. Je l’ai trouvé en 2019, abandonné juste devant mon portail avec trois autres chiens, tous atteints du parvovirus. Ils étaient dans un état terrible… Je ne savais même pas s’ils allaient survivre. Mais Deki s’est battu, il a trouvé assez de force pour s’en sortir, même si la maladie a laissé des traces sur son corps et sur son système immunitaire.

Aujourd’hui encore, malgré ses progrès, il garde des séquelles du parvo. Et récemment, il a été de nouveau blessé : une autre bagarre a éclaté et il s’est retrouvé avec une plaie profonde. Pour l’instant, je l’ai mis à l’abri chez moi, isolé, le temps que la blessure cicatrise. Mais je sais très bien que ce n’est qu’une solution temporaire. Un pansement sur une jambe de bois; comme on dit. Les attaques ne cesseront pas tant que la situation alimentaire restera la même...

Car le vrai problème, c’est le manque de croquettes. Les chiens se battent parce qu’ils ont faim, parce qu’ils n’ont rien, parce que les restes ne suffisent pas. Et c’est à cause de cette faim que des chiens comme Deki deviennent des cibles : plus faibles, moins rapides, incapables de défendre leur ration. Sans croquettes, on ne peut pas rétablir le calme, et on ne peut pas protéger Deki..."

4. Trop malade pour gérer le refuge, submergée par les dettes, Gorica ne peut pas nourrir ses chiens sans cette récolte de croquettes.

"Notre situation financière est pire que jamais. Les dons se sont pratiquement arrêtés : j’ai reçu seulement deux petits dons de 250 kg récemment, avalés en quelques jours. Je suis très endettée : pour l’eau, pour le vétérinaire, les factures d’électricité... 

Nourrir 205 chiens demande une quantité de croquettes énorme… bien au-delà de ce que je peux financer ! Je poste des appels à l’aide, j’essaie, mais personne ne répond. Et je suis hélas trop malade pour chercher d’autres solutions : je suis alitée depuis des semaines... Je vis avec des drains et des sondes.

Pour le moment, ce sont deux employés qui s’occupent du refuge à ma place. Leur salaire est pris en charge par une organisation américaine, et je leur en suis infiniment reconnaissante… mais rien n’est garanti, ni dans la durée, ni dans la stabilité de cette aide. Si cette organisation devait arrêter son soutien, je ne pourrais pas les maintenir. Je ne pourrais plus rien gérer du tout.

Je n’ai plus la force physique pour continuer seule. Je le reconnais avec tristesse : sans aide extérieure, je ne peux plus sauver mes chiens. Ils comptent sur moi, mais moi, je dois compter sur vous. Chaque sac de croquettes leur apporte non seulement de la nourriture, mais aussi un peu de paix, de sécurité et de dignité."

5. Gorica ne demande pas d'argent, seulement des croquettes pour éviter que les chiens ne meurent de faim. 

"Ces chiens sont toute ma vie. Pendant des années, j’ai recueilli ceux que personne ne voulait, j’ai soigné les blessés, porté les abandonnés, protégé les plus fragiles. Dans un pays où la misère animale est partout, j’ai tout donné pour leur offrir une chance de vivre dignement. Ils sont devenus ma mission, ma famille, ma raison d’avancer.

Mais aujourd’hui, je suis très affaiblie. J’ai plus de 80 ans, je suis atteinte d’un cancer, et je suis clouée au lit depuis des semaines. Je n’ai plus la force de me lever, plus la possibilité d’aller vers eux comme avant. C’est une immense souffrance de les entendre, de savoir qu’ils ont besoin de moi, alors que mon corps ne me répond plus. 

Seule, dans l’état où je suis, il m'est impossible de continuer sans aide. J’ai besoin de vous. Chaque don de croquettes est un acte qui leur permet de tenir… et qui m’aide, moi aussi, à continuer ce combat que je n’ai jamais abandonné. Je ne veux pas les laisser tomber ! S'il vous plait, aidez-moi à les protéger."

6. En agissant maintenant, vous pouvez permettre à Gorica de recevoir 2900 kilos de croquettes. 

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique directement en Serbie, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

7. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment.

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, le bénéficiaire ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés. 

8. En Serbie, les chiens des rues sont traqués par l'Etat et ignorés par la population, les bénévoles comme Gorica sont leur seul espoir !

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Gorica, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une Fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plait venez en aide aux chiens de Gorica contactez-nous nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez passer au refuge de Gorica pour les aider ou que vous voulez leur envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez Gorica via la page Facebook de l'association (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).

9. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.