Difficultés respiratoires, apathie : le pauvre Titi vit dehors, alors qu’il ne va pas bien !

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3 000 kg
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Animal Webaction s'est rendu sur place le 30 novembre 2025 et confirme la situation décrite ci-dessous.

"Je m’occupe aujourd’hui de 177 chiens… et franchement, je n’y arrive plus avec la nourriture. Deux chiens ont encore été abandonnés devant le refuge récemment. Je ne voulais plus en prendre, je n’en ai plus les moyens… mais quand je les ai vus là, livrés à eux-mêmes, je n’ai pas pu les laisser. Résultat : encore deux bouches de plus à nourrir alors que je n’y arrive déjà pas avec les autres !
Pendant longtemps, je donnais 4 sacs par jour. Ensuite 3. Aujourd’hui… seulement 2 sacs. À peine 40 kg pour 177 chiens, ce n’est rien du tout ! Je rationne depuis un mois, et ça se voit : ils ont faim, leur santé bouge tout le temps selon ce que je peux leur donner. Le 30 novembre, il me restait une dizaine de sacs… Autant dire qu’il n’y a plus rien.
Ça me ronge… La nourriture est la base ici. Sans ça, rien ne fonctionne. Je passe mes journées à stresser, à me demander comment je vais pour nourrir mes chiens le lendemain. Je n’ai plus d’argent, plus de crédit, plus de solution. L’urgence est là, vraiment… et je suis seule face à ça."

"Le manque de croquettes se voit tout de suite : les chiens sont maigres, décharnés… ça me fait mal de les voir comme ça. À l’heure des repas, ils sont aussi plus tendus, plus impatients. La faim crée des tensions, c’est évident.
Et moi, je me retrouve face à des choix qui n’en sont pas… Qu’est-ce que je vais faire ? Les garder ici sans rien à mettre dans les gamelles ? Les relâcher dehors ? Rien que d’y penser, ça me brise. Ces chiens ont déjà vécu trop de choses. Ils ont repris confiance, ils se sont posés… et je devrais les mettre dehors juste parce que je n’ai plus de quoi les nourrir ? C’est inimaginable.
Les plus fragiles seront les premiers touchés : les malades, ceux sous traitement, les jeunes, les blessés… Sans croquettes, leur état peut basculer en quelques jours. Je risque de perdre tout ce que j'ai réussi à faire pour eux. C’est pour ça que cette récolte doit absolument aboutir. Sans ça… je ne vois vraiment pas comment éviter le pire."

"Tomy est arrivé au refuge quand il avait à peine deux mois. Je l’ai trouvé moi-même sur la route, juste à l’extérieur de la ville. Il était minuscule, tout seul, sans nourriture… complètement livré à lui-même. Aujourd’hui, Tomy a quatre ans. C’est un chien très calme, mais aussi très peureux. Il n’aime pas les conflits, il reste en retrait, toujours un peu sur la défensive.
En grandissant, on a découvert plusieurs problèmes de santé : une malformation de la mâchoire, et surtout des troubles gastro-intestinaux. Il digère très mal, et dès qu’il ne mange pas correctement, son état se dégrade vite... Et depuis des mois… Tomy maigrit. Il n’arrive pas à reprendre du poids, l'alimentation au refuge est trop précaire, trop instable.
Avec les rations réduites, c’est encore pire : il n’a que la peau sur les os. Comme il est craintif, il n’ose pas s’imposer devant les autres, et avec ses problèmes de digestion, il a encore plus besoin d’une alimentation stable. Tomy fait partie de ceux que je surveille tout le temps, parce que je sais qu'il ne tiendra pas longtemps si les gamelles restent vides. Il a vraiment besoin de cette récolte pour survivre..."

"Financièrement, l'association est aux abois. Chaque dirham que je reçois part directement dans la nourriture. Je ne peux plus payer rien d’autre. Le compte est vide depuis 15 jours. J’ai dû arrêter les stérilisations, les castrations, les sauvetages… Je n’ai plus les moyens. Même quand des dons arrivent, ça ne couvre même pas un quart de ce qu’il faut pour nourrir tout le monde.
Et les dettes… elles s’accumulent de partout. Je dois environ 7 600 dirhams au vétérinaire, 6 000 à l’animalerie, 1 700 à la pharmacie, 4 700 à une usine, et 15 000 dirhams à un fournisseur de croquettes qui refuse désormais de me faire crédit après trop d’impayés. Au total, ça représente à peu près 3 300 euros. Une somme énorme pour quelqu’un comme moi qui dépend totalement des dons !
Je fais tout ce que je peux pour trouver de l’aide : je poste, j’explique, je demande partout. Mais ça ne suffit pas. Les autres associations n’ont pas pu m’aider, et les fournisseurs ont fermé la porte. Je n’ai plus aucune marge de manœuvre. Sans cette récolte, je n’ai littéralement aucun moyen de nourrir mes chiens. Aucun."

"Je tiens ce refuge près de Tétouan depuis plus de neuf ans. Au début, j’avais des rêves… beaucoup de rêves. Agrandir le refuge, sauver toujours plus de chiens, sensibiliser les gens… Aujourd’hui, la vérité est simple : je me bats au jour le jour. Si j’arrive à nourrir les chiens, je considère que j’ai gagné ma journée.
Le stress m’a brisée. Je suis en dépression, j’ai dû commencer un traitement il y a trois mois. Cet été, j’ai failli abandonner… vraiment. La thérapie m’aide, mais la réalité revient tous les jours : soit je pense à ma santé, soit je pense aux chiens. Et si je “choisis” ma santé… eux n’ont plus rien. Alors je continue, je serre les dents… Quand j’entre dans le refuge et que je les vois courir vers moi, heureux, comme si j’étais la meilleure chose de leur journée… ça me donne la force de revenir.
Mais il y a aussi toute la culpabilité qu’on ne voit pas. Par exemple, je n’arrive pas toujours à payer ma travailleuse à temps… et elle aussi a un loyer, une famille. Je viens avec des croquettes pour les chiens… mais pas son salaire. C’est très dur. Et je passe des coups de fil pour demander des sacs à crédit, en promettant de payer “bientôt”… alors que je n'ai aucune solution.
Ce qui me fait tenir, c’est simple : ces chiens n’ont que moi. Et je ne peux pas les abandonner.
Quand plusieurs personnes aident, même un tout petit peu, tout change : les chiens mangent correctement, ils sont plus calmes, plus en forme. Et ça nous redonne un coup de boost : on peut espérer reprendre les stérilisations, les traitements... Ça change tout."

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique au Maroc, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.
Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, le bénéficiaire ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés.

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Rokaya, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.
Si vous représentez une fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plaît, venez en aide aux chiens de Rokaya, contactez-nous nous vous mettrons en relation !
Si vous souhaitez passer au refuge de Rokaya ou que vous voulez lui envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez-la via sa page sur Facebook (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).
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Récolte vérifiée
Cette récolte a été contrôlée, Animal Webaction s'est déplacé au refuge
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Envoi de croquettes
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Expertise
Animal Webaction est partenaire de 1000 associations de protection des animaux dans 15 pays et existe depuis 13 ans
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Maroc
Viande et sous-produits animaux, céréales, huiles et graisses, sous-produits d'origine végétale et substances minérales.
Protéines brutes : 22 %.
Huiles et graisses brutes : 8
Fibres brutes : 4
Cendres brutes : 10,80%
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