Ataxique depuis la naissance, le pauvre Tigri souffre d'un coryza chronique !

15,18 kg
de croquettes offertes
2 400 kg
de croquettes nécessaires
7 jours
restants pour réussir
Participez en confiance
Animal Webaction s'est rendu sur place le 30 novembre 2025 et confirme la situation décrite ci-dessous.

"En ce moment, je m’occupe de 148 chiens au refuge. En quelques mois, une trentaine de nouveaux sont arrivés, surtout des chiots. Ici, beaucoup de gens refusent encore de stériliser leurs chiens, même quand c’est gratuit… alors ils abandonnent les portées, les jettent dans la nature, ou pire. Résultat : toujours plus de chiens, toujours plus de bouches à nourrir, et de moins en moins de moyens pour y arriver.
Aujourd’hui, je fais encore en sorte que chaque chien mange, mais c’est de plus en plus difficile. Les croquettes sont essentielles : ce sont elles qui apportent les vitamines et les minéraux, surtout en hiver. Comme il n’y en a pas assez, je suis obligée de les mélanger avec du pain, des restes, de la viande récupérée à moitié abîmée. Ce n’est pas ce que je voudrais leur donner, mais sans aide, je n’ai pas d’autre choix…
Et l’hiver est là. Le froid, l’humidité, le vent dans les enclos ouverts. On bourre les niches de paille pour isoler le mieux possible, mais quand les chiens sortent sous la pluie ou la neige, ils reviennent trempés et transis... Nous n’avons ni bâtiments chauffés, ni installations adaptées. Dans ces conditions, les croquettes ne sont pas un confort : elles sont leur seule protection contre le froid et les maladies !"

"Faute de moyens, je dois donner à mes chiens une nourriture très loin d’être idéale : du pain rassis qui moisit vite avec l’humidité, des restes de viande déjà à moitié tournés que l’on essaie de faire bouillir pour les rattraper, des restes alimentaires très pauvres sur le plan nutritionnel. Vous ne verrez pas de chiens squelettiques ici, mais cela ne veut pas dire que tout va bien... Le problème est invisible, lent, silencieux.
Je commence déjà à en voir les effets : des diarrhées, une immunité qui baisse, surtout chez les plus fragiles. Les chiens âgés, malades ou très jeunes n’ont aucune réserve. Quand on cumule le froid, l’humidité, une nourriture pauvre et presque plus de médicaments, on obtient un mélange dangereux. Une simple toux peut se transformer en pneumonie ; une petite faiblesse peut devenir fatale...
Si je n’arrive pas à sécuriser des croquettes maintenant, je sais ce qui va se passer : plus de maladies, plus de souffrance, et des décès qui auraient pu être évités. Les plus costauds tiendront peut-être, mais les vieux et les malades n’y arriveront pas. Je tiens ce refuge depuis 21 ans ; j’ai vu assez d’hivers pour reconnaître quand on approche du point de rupture. Cette année, on y arrive..."

"Luki a 10 ans. Il est arrivé ici à l’âge d’un mois, abandonné devant le portail du refuge, comme un objet dont on se débarrasse. Il a grandi au refuge, sans jamais connaître un vrai foyer. Pour lui, cet endroit, c’est la seule sécurité qu’il ait jamais eue.
Il y a deux ans, on lui a diagnostiqué une tumeur dans la cavité de l’œil. L'opération est très complexe, très coûteuse, et seulement envisageable dans une clinique à l’étranger… Alors pour l’instant, je suis coincée : je le regarde se battre, et je sais qu’il aurait besoin de chirurgie, mais je n’ai pas les moyens de lui offrir cette chance. Et pendant ce temps, la tumeur continue de grossir, elle déforme son crâne, son œil est décoloré, sûrement aveugle.
Alors oui, on parle de croquettes… parce que c’est la base. Tant qu’on ne sait pas si une opération sera possible, je dois au moins m’assurer qu’il mange assez et qu’il mange bien. Un chien comme Luki ne peut pas tenir avec du pain et des restes : son corps a besoin de nutriments pour résister, garder des forces, supporter l’hiver et la maladie. Si je n’arrive même plus à lui donner une alimentation correcte, alors c’est peine perdue : même avec une opération..."

"Financièrement, la situation est très grave. Nous n’avons plus aucune aide municipale, alors même que les autorités y sont légalement tenues. Avant, cette petite somme mensuelle, autour de 500 euros, servait au moins à combler certaines brèches ; aujourd’hui, ces brèches sont devenues des gouffres. Les dettes s’accumulent : nourriture, vétérinaire, entretien du véhicule indispensable au refuge… J’ai l’impression de vider un seau percé.
Les dons individuels existent, mais ils sont rares et modestes. Notre seul soutien régulier vient d’une association néerlandaise, sans laquelle le refuge aurait déjà fermé. Mais ça ne suffit plus face à l’ampleur des besoins et des dépenses, avec 148 chiens à nourrir et soigner chaque jour !
J’ai essayé de trouver d’autres aides, de coopérer, de nouveaux partenaires… mais chacun se bat avec presque rien. Et faute d’argent, j’ai déjà dû réduire les soins vétérinaires au strict minimum : je ne peux plus “sauver tout le monde”, je dois choisir qui soigner et qui seulement soulager… Cette collecte de croquettes n’est pas un “plus” : elle conditionne la survie du refuge tout entier."

"Je dirige ce refuge, “Dernier Oasis”, depuis 21 ans. Des centaines de chiens sont passés par ici ; beaucoup sont partis vers une vie meilleure dans des pays d’Europe, certains ont été adoptés localement, et trop nombreux sont ceux qui sont morts en attendant un bonheur qui n’est jamais venu. Je continue avant tout par amour pour eux, mais aussi par défi : contre l’indifférence, contre la cruauté, contre un système qui les abandonne. Leur souffrance me touche profondément, et il m’est impossible de détourner le regard.
Au fil des années, il y a eu quelques moments de reconnaissance qui m’ont aidée à tenir. Lors de l’anniversaire du refuge, des amis, notre vétérinaire et quelques curieux sont venus. Ils ont été surpris de voir à quel point le refuge est organisé, comment les chiens, malgré leur nombre, sont vaccinés, identifiés, timides mais amicaux et en bon état. Le vétérinaire nous a publiquement félicités, soulignant que nous avions évité de graves épidémies malgré la densité de chiens. Ce genre de moment donne “du vent dans les voiles”, mais ne règle ni les factures, ni les gamelles vides.
Je suis fatiguée, et je ne peux plus porter tout cela seule. Je ne suis pas une armée à moi toute seule, même si j’ai essayé de l’être pendant deux décennies. Votre soutien, votre don de croquettes, peut faire la différence entre la vie et la mort pour de nombreux chiens ici. Ce qui peut vous sembler “pas grand-chose” peut signifier absolument tout pour eux : une gamelle pleine, un corps plus fort, un hiver de plus surmonté, et peut-être, un jour, une vraie famille. Je ne peux pas changer leur destin sans vous."

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique en Bosnie qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.
Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, le bénéficiaire ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés.

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Svjetlana, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.
Si vous représentez une Fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plaît, venez en aide aux chiens de Svjetlana, contactez-nous, nous vous mettrons en relation !
Si vous souhaitez passer au refuge de Svjetlana pour l'aider, ou que vous voulez lui envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez-la via la page Facebook de l'association (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).
|
|
Paiement sécurisé
Paiement 100% sécurisé via HTTPS par Paypal ou carte bancaire
|
|
|
|
Récolte vérifiée
Cette récolte a été contrôlée, Animal Webaction s'est déplacé au refuge
|
|
|
|
Envoi de croquettes
Nous n'envoyons pas d'argent, nous vendons uniquement des croquettes
|
|
|
|
Suivi de livraison
Nous vous préviendrons de la livraison et vous recevrez des photos
|
|
|
|
Acheteurs satisfaits
Notre taux de satisfaction est de 98% (lire nos 1067 avis sur Facebook)
|
|
|
|
Expertise
Animal Webaction est partenaire de 1000 associations de protection des animaux dans 15 pays et existe depuis 13 ans
|
|
Bosnie-Herzégovine
Composition analytique : Protéine 21%, Humidité: 10% Huiles et matières grasses brutes: 10% Cendres brutes: 8,5% Phosphore: 1,5% Acides gras oméga-6: 1,5% Protéines brutes: 21% Fibres brutes: 2,5%, calcium : 2,4%
Ingrédients : Céréales Viande et produits à base de viande 27% ( boeuf 4%) Sous-produits d'origine végétale Huiles et corps gras Levures Substances minérales
Ce produit peut être livré dans les pays suivants : Îles Salomon