Ne laissons pas les 260 chiens du refuge de Svetlana mourir de faim !

1. En Serbie, Svetlana n'a presque plus de croquettes pour nourrir les 260 chiens de son refuge. Ils vont mourir de faim si personne ne les aide !

"En ce moment, on a 260 chiens au refuge. C'est trop ! Beaucoup trop au vu de nos moyens. Hélas on n'a n’a pas le luxe de choisir : quand un chien est dans le besoin, on le prend… Et des chiens abandonnés en Serbie, ce n'est hélas pas ce qui manque. Le nombre de chiens augmente sans cesse, leurs besoins aussi, mais les dons de nourriture, eux, ne suivent pas.

Aujourd’hui, les chiens mangent des demi-rations, parce qu'on a presque plus rien... Les croquettes restantes suffiront à peine à couvrir la journée et ce sont des sacs mélangés, récupérés comme j’ai pu, là où j’ai pu.

Je n’ai qu’une seule chose à l'esprit : comment les nourrir demain, et avec quoi. On n'a pas de réserve, pas de filet de sécurité. Juste des centaines de chiens qui attendent, et moi, qui essaie de ne pas paniquer... Cette pression, je la porte à chaque heure. C'est simple : soit cette collecte réussit, soit ce sont mes chiens qui en paieront le prix..."

2. Faute de croquettes, les bagarres éclatent, les chiens se blessent... Svetlana vit dans la peur de ne plus pouvoir les protéger.

"On n'a pas assez de croquettes, et ça se sent tout de suite. Les chiens sont tendus, agités, à fleur de peau. Chaque repas devient un moment de stress. On a déjà eu des bagarres, des blessures… La situation peut vite dégénérer.

Si la pénurie de croquettes perdure, ce ne sera pas juste “difficile”, ce sera une catastrophe ! J’essaie de ne pas me projeter trop loin, mais je me dis aussi une chose très simple : si je n’ai plus rien à leur donner, je ne pourrai pas tous les garder ici !

J’ai même pensé à relâcher quelques chiens jeunes… Franchement, rien que de le dire, ça me donne la nausée, mais c’est le genre de dilemme auquel je suis confrontée aujourd’hui, tellement la situation est désespérée."

3. Après deux ans de lutte contre la leishmaniose, Rozi commence tout juste à aller mieux : sans croquettes, sa rechute sera inévitable.

"J’ai trouvé Rozi en septembre 2023, tout près du refuge. Elle a sûrement été abandonnée là par ses propriétaires… Elle venait d’être stérilisée, et sa cicatrice m’a tout de suite inquiétée : la plaie avait l’air infectée. Et surtout, elle avait déjà de gros problèmes de peau.

On a tenté de la soigner : consultations, tests, antibiotiques… mais rien n’était concluant. La peau de Rozi ne s’améliorait pas, au contraire, ça empirait, et on avançait sans comprendre ce qu’on avait en face. Au final, ce n’est qu’en envoyant un prélèvement en Italie qu’un vétérinaire a pu poser le diagnostic : la leishmaniose. À partir de là, on a enfin pu démarrer le bon traitement, et Rozi a commencé à aller mieux…

Mais c’est très précaire, vous voyez bien l’état dans lequel elle est encore, deux ans après son sauvetage… La leishmaniose, c’est une maladie à vie. Sans traitement régulier, et sans croquettes pour soutenir son organisme, c’est la rechute à coup sûr."

4. Besoins en croquettes immenses, dons à l’arrêt : Svetlana est au pied du mur, elle n’a plus que cette collecte pour nourrir ses chiens.

"Financièrement, je suis écrasée. La dette du refuge est devenue énorme; ce qui entre ne couvre même pas ce qui sort. J’ai beau compter, recalculer, tourner les choses dans tous les sens, ça ne tombe jamais juste… Et je le sais déjà : janvier va être un mur. En janvier, les dons s’arrêtent, et moi je dois quand même continuer, nourrir, payer, tenir, avec presque rien…

Les croquettes, c’est de très loin ce qui nous ruine le plus, parce qu’il faut des quantités énormes pour nourrir presque 300 chiens ! Je n’ai jamais les moyens de faire un vrai stock. Alors je vis avec cette question en permanence : “Est-ce que demain matin j’aurai de quoi les nourrir ?” Je cours acheter à manger au dernier moment, parce que je ne peux pas anticiper. C’est vraiment de la survie au jour le jour, au centime près.

Et pendant ce temps, les factures s’empilent : l’électricité, les frais vétérinaires… chaque impayé, c’est une pression en plus. Heureusement, une association néerlandaise m’aide en envoyant parfois un peu d’argent, et en prenant en charge certaines stérilisations, mais ça ne couvre pas tout, loin de là. Les médicaments manquent, les croquettes manquent, et très souvent je dois payer moi-même avec un salaire limité… Je suis épuisée, je suis rincée. Cette collecte, elle change tout : elle nous permet de tenir, de respirer, et surtout de nourrir nos chiens. Elle est vitale !"

5. Svetlana ne demande pas d'argent, seulement des croquettes pour éviter que les chiens ne meurent de faim.

"Je porte ce refuge à bout de bras, jour après jour. Les gens abandonnent les chiens si facilement… ils les déposent, et puis plus rien, ils disparaissent. Et en plus de tout ça, il y a une difficulté énorme au quotidien : le manque de bénévoles. Quand on n’a pas assez de bras, tout devient plus lourd, plus lent, plus compliqué, surtout avec autant de chiens à gérer.

Alors j’essaie de limiter autant que je peux, parce que je suis déjà sur la corde raide. Je ne peux pas ouvrir grand les portes à chaque demande, même si ça me fend le cœur. Ici, il y a déjà 260 chiens qui dépendent entièrement de ce refuge… et quand on est à ce point-là, chaque arrivée de plus, c’est encore plus de croquettes à trouver, encore plus de soins, encore plus de pression.

Se réveiller chaque matin en se demandant ce que 260 chiens vont manger… ça vous use. Et il faut le dire clairement : beaucoup de gens ne se rendent pas compte des quantités nécessaires. Ils pensent que quelques sacs vont durer des mois… mais avec ces chiffres-là, tout part à une vitesse folle !

Alors oui, chaque don de croquettes compte. Parce qu’à la fin, ce sont des gamelles pleines, moins de tension, moins de bagarres, et des chiens qui peuvent enfin manger à leur faim..."

6. En agissant maintenant, vous pouvez permettre à Svetlana de recevoir 3000 kilos de croquettes.

Animal Webaction dispose d'une plateforme logistique directement en Serbie, qui lui permet d'intervenir rapidement et de livrer des croquettes.

7. Les récoltes lancées sur Animal Webaction échouent fréquemment...

Quand une récolte échoue, Animal Webaction ne peut pas Iivrer les produits récoltés, l'organisateur ne reçoit rien et les acheteurs sont remboursés. 

8. En Serbie, les chiens des rues sont traqués par l'Etat et ignorés par la population, les bénévoles comme Svetlana sont leur seul espoir.

Si vous connaissez une fondation ou une ONG qui pourrait aider Svetlana, invitez-la à nous contacter pour que nous puissions les mettre en relation.

Si vous représentez une fondation ou une ONG de protection animalière, s'il vous plaît, venez en aide aux chiens de Svetlana, contactez-nous, nous vous mettrons en relation !

Si vous souhaitez passer au refuge pour aider ou que vous voulez envoyer directement des croquettes ou un chèque, contactez Svetlana sur Facebook (note : l'aide directe se fait sous votre entière responsabilité).

9. Si vous faites un achat sur Animal Webaction, il sera protégé par nos garanties.