Alex s’est retrouvé à la rue au décès de sa maîtresse : le pauvre est complètement désorienté et il est tombé malade !
672 sachets
de viande offertes
672 sachets
de viande nécessaires
Attention ! Si cette collecte échoue, les donateurs seront remboursés et l'association ne recevra rien.
HORREUR ! La pauvre Colette s'est arrachée la peau du cou en tentant de se libérer d'un piège à collet !
Elle voulait absolument rejoindre ses petits, mais c'était impossible, le piège était trop bien serré... Plusieurs de ses chatons sont morts en l'attendant !
Marcel et Evelyne ont besoin de sachets pour faire reprendre des forces à Colette et ses petits.
Ne laissons pas tomber l'association se démoralise face au manque de moyens et surtout face à la cruauté sans limite de certaines personnes !
Colette était prisonnière d'un collet plusieurs jours quand Marcel, le président de l'association l'a retrouvée « On sait très bien qui a placé le collet. C'est un homme qui déteste les chats et qui fait tout ce qu'il peut pour s'en débarrasser. Le cou de Colette était tout arraché, coupé aux 2/3 quand nous l'avons libérée. »
Colette a rapidement été emmenée chez le vétérinaire « il l'a soigné, traitée, et même stérilisée. Mais on a dû très vite la remettre en liberté dans la rue, car Colette avait des petits qui l'y attendaient. »
L'absence de Colette n'a d'ailleurs pas été sans conséquence pour les chatons « ils étaient encore trop jeunes pour être capables de se nourrir seuls. Certains ont disparu et je crains fort qu'ils ne soient morts. »
L'association a besoin de sachets pour nourrir Colette et ses petits, afin qu'ils puissent tous reprendre des forces suite à cette mésaventure.
Marcel et Evelyne : un combat pour les animaux !
Marcel se lève à l'aube chaque jour pour nourrir les chats de sa ville « on est obligé de le faire en cachette, parce que certaines personnes nous volaient les croquettes ou venaient enlever les animaux pour leur faire du mal quand ils repéraient nos zones de nourrissage.
Mais je ne sais pas si l'année prochaine on pourra encore continuer. Financièrement, c'est un gouffre, on dépense plus de 600 € rien qu'en sachets par mois et on ne reçoit aucune subvention. J'ai peur que l'on doive arrêter. Je me demande alors ce que deviendront tous ces chats. »